
Clinique Parents Plus—Montant financé : 46 180 $
La Fondation RÉA finance actuellement le développement d’une pratique de pointe à la Clinique Parents Plus pour les parents ayant des incapacités physiques et cognitives.
Grâce à une collaboration recherche-clinique établie récemment avec une chercheure du Centre de recherche interdisciplinaire en réadaptation (CRIR), Carolina Bottari, Ph.D., une nouvelle pratique de pointe pour répondre aux besoins complexes de parents pour lesquels des incapacités cognitives s’ajoutent aux incapacités physiques est en développement. Cette nouvelle pratique s’adresse tout particulièrement aux personnes ayant un des diagnostics suivants : traumatisme craniocérébral, accident vasculaire cérébral, sclérose en plaques, dystrophie musculaire et déficience motrice cérébrale.
Cabine SELA—Montant financé : 79 000 $
La Fondation RÉA finance actuellement le remplacement de l’équipement médical : Système d’évaluation de la localisation auditive (SELA).
Le SELA permet d’évaluer les habiletés de localisation auditive qui sont essentielles pour assurer, en situation réelle, les déplacements autonomes et sécuritaires de la clientèle sourde-aveugle. Le SELA est utilisé pour répondre aux besoins de la clientèle sourde-aveugle desservie par le programme conjoint en Surdicécité, mais aussi celle de l’ouest du Québec qui requiert une évaluation de la localisation auditive en vue de maintenir et développer des déplacements autonomes et sécuritaires.
Clinique Parents Plus au salon maternité paternité enfants—Montant financé : 1 575 $
La Fondation RÉA finance actuellement la participation de la Clinique Parents Plus au Salon Maternité Paternité Enfants.
En participant à l’édition d’avril 2019, la Clinique Parents Plus permet parents et futurs parents en situation de handicap de connaître l’existence de la clinique et d’ainsi pouvoir légitimer le projet de fonder une famille malgré une déficience physique.
Cirque social—Montant financé : 16 150 $
La Fondation RÉA finance actuellement le développement d’un guide d’implantation et d’intervention clinique pour le Cirque social en déficience physique.
Le projet consiste à développer un guide décrivant l’intervention clinique « Cirque social en réadaptation » afin de pérenniser le service au CCSMTL et permettre le transfert externe de cette pratique novatrice auprès des jeunes adultes avec déficiences physiques, en période de transition de l’école vers la vie active adulte.
Clinique vestibulaire—Montant financé : 240 000 $
La Fondation RÉA finance actuellement l’achat d’équipement pour l’évaluation, le traitement et le suivi des clientèles vestibulaire et neurologique.
La Clinique surspécialisée en rééducation vestibulaire de l’Institut de réadaptation Gingras-Lindsay de-Montréal (IRGLM) a acquis une réputation des plus enviables dans son champ d’expertise. Les troubles de déficit vestibulaire sont des conditions difficiles à soigner et requièrent des soins spécialisés. Les professionnels de la Clinique vestibulaire aident leurs patients à guérir leurs vertiges et étourdissements pour retrouver l’équilibre perdu.
Évaluation des stagiaires—Montant financé : 7 625 $
La Fondation RÉA finance actuellement le rehaussement de l’évaluation des stagiaires et de leur poste de travail.
L’IRGLM reçoit environ 650 étudiants par année provenant de milieux divers tels que la médecine, la physiothérapie, l’ergothérapie, l’orthophonie, le service social, la psychologie, les sciences infirmières, la nutrition et autres. Ces étudiants viennent parfaire leurs habiletés lors de stages en milieu de travail. Le projet vise à offrir une meilleure évaluation et rétroaction aux étudiants en stage.
Matériel LSQ—Montant financé : 23 035 $
La Fondation RÉA finance actuellement le renouvellement du matériel de formation de la langue des signes québécoise (LSQ).
L’installation Raymond-Dewar assure la formation de la langue des signes québécoise depuis près de 40 ans. Un nombre incroyable de gens sont venus ici pour y apprendre la langue et aussi la culture de la communauté Sourde. Juste dans les cinq dernières années (2012-2016) c’est plus de 2 600 personnes de 11 à 79 ans qui ont participé à différents niveaux de la formation (LSQ 1 à 6). C’est souvent pour eux, le premier contact qu’ils ont avec une personne Sourde, puisque l’enseignement est assuré par des enseignants Sourds. Pour ce motif et pour l’importance que revêt l’enseignement de la LSQ pour l’installation Raymond-Dewar et le CIUSSS, la Fondation RÉA a décidé d’appuyer le projet visant à moderniser et mettre à jour le matériel d’enseignement (dernière révision en 1997).
Projet SAGE—Montant financé : 530 000 $
La Fondation RÉA finance actuellement l’équipe de spécialistes de l’application et de la généralisation de l’expertise.
Afin d’instaurer dans l’organisation une culture d’amélioration continue basée sur les données probantes, une équipe de « Spécialistes de l’application et de la généralisation de l’expertise » (SAGEs) a été mise sur pied et est entrée en fonction à l’automne 2011 avec le soutien financier de la Fondation. Les SAGEs ont pour mandat d’amener les cliniciens à réfléchir sur leurs pratiques actuelles afin de favoriser l’implantation de meilleures pratiques au sein de leur programme. Ils travaillent pour coordonner, promouvoir et faciliter l’adoption des meilleures pratiques sous l’autorité des chefs de programme.
Ce projet bénéficie de l’appui de la Fondation ontarienne de neurotraumatologie.
Fonds de dépannage—Enveloppe annuelle : 10 000 $
En plus des projets financés, la Fondation RÉA a mis en place le Fonds de dépannage, dont le financement accordé aux bénéficiaires contribue directement à leur autonomie et leur insertion sociale.
Cette mesure permet aux personnes éligibles de recevoir une aide financière annuelle pouvant atteindre jusqu’à 100 $ pour des achats/frais non couverts.
Fellowship de la Dre Aurélie Houle—Montant financé : 50 000 $
Bourse de la Fondation RÉA remise à la Dre Aurélie Houle afin de contribuer au financement de son fellowship.
L’initiative améliorera les soins des patients atteints d’AVC complexe.
Le fellowship d’une année aura lieu au sein du service de médecine physique et de réadaptation de l’Hôpital universitaire Pitié-Salpêtrière, à Paris. Cet établissement universitaire a toujours été reconnu, entre autres, pour son expertise en neurologie et en rééducation neurologique.
Bourse de la Fondation RÉA remise à la Dre Aurélie Houle afin de contribuer au financement de son fellowship.
L’initiative améliorera les soins des patients atteints d’AVC complexe.
Le fellowship d’une année aura lieu au sein du service de médecine physique et de réadaptation de l’Hôpital universitaire Pitié-Salpêtrière, à Paris. Cet établissement universitaire a toujours été reconnu, entre autres, pour son expertise en neurologie et en rééducation neurologique.
Bourse de la Fondation RÉA remise à la Dre Aurélie Houle afin de contribuer au financement de son fellowship.
L’initiative améliorera les soins des patients atteints d’AVC complexe.
Le fellowship d’une année aura lieu au sein du service de médecine physique et de réadaptation de l’Hôpital universitaire Pitié-Salpêtrière, à Paris. Cet établissement universitaire a toujours été reconnu, entre autres, pour son expertise en neurologie et en rééducation neurologique.
Dans ses fonctions, Dre Aurélie Houle :
- prendra en charge des patients atteints d’AVC complexe depuis l’unité de neurologie vasculaire en phase aiguë, puis les suivra pendant leur réadaptation fonctionnelle intensive jusqu’à leur retour à domicile;
- travaillera aux cliniques spécialisées destinées aux patients atteints d’AVC qui présentent une ou des complications, dont la spasticité, des troubles vésico-sphinctériens, des troubles vestibulaires et/ou des déficits cognitifs;
- s’impliquera en recherche clinique auprès de la Pr Pascale Pradat-Diehl (spécialiste en médecine physique et en réadaptation) afin d’étudier les déficits cognitifs et la neuroréadaptation post-AVC;
- participera à des projets de recherche en neuromodulation à l’Institut du cerveau et de la moelle épinière, affilié à l’Hôpital Pitié-Salpêtrière;
- participera aux réunions de service et de neuroscience qui lui permettront de discuter de différents sujets concernant la réadaptation post AVC et la rééducation neurologique en général.
Dès son retour, Dre Aurélie Houle :
- offrira des soins surspécialisés à la fine pointe des connaissances tant sur le plan de la neuroréadaptation que de la prise en charge des complications possibles d’un AVC;
- travaillera en réadaptation fonctionnelle intensive auprès de patients atteints d’AVC de l’Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal;
- offrira des services surspécialisés dans le diagnostic et le traitement des complications pouvant survenir à la suite d’un AVC;
- poursuivra son implication en recherche en élaborant des projets de recherche France-Québec multicentriques afin d’optimiser les connaissances en neuroréadaptation;
Une approche axée sur la collaboration
Dre Aurélie Houle a complété son doctorat en médecine et sa résidence en médecine physique et en réadaptation à l’Université de Montréal. Elle amorcera en septembre prochain une maîtrise en pédagogie universitaire des sciences de la santé à l’Université de Montréal, afin de se spécialiser en enseignement de la médecine.
Elle désire s’engager dans la formation des futurs physiatres, et optimiser le partage des connaissances entre les domaines médicaux et les divers professionnels de la santé touchant de près ou de loin à la médecine physique et la réadaptation.
Aussi, elle souhaite contribuer à l’enseignement destiné aux patients et à leurs proches concernant leur maladie et les possibles complications associées.
De plus, via cette année d’expérience en fellowship, elle désire développer un programme de fellowships au sein du programme AVC de l’IRGLM qui favorisera la création de collaborations avec d’autres programmes de réadaptation en AVC au niveau national et international.
« Le travail d’équipe avec le patient, ses proches et les divers professionnels de la santé fait partie intégrante de ma pratique médicale, indique-t-elle. Cette collaboration est essentielle, puisqu’elle permet, entre autres, d’offrir un plan de traitement interdisciplinaire optimal adapté aux objectifs du patient en matière de santé, d’autonomie, et de qualité de vie. Un tel principe de coopération est notamment important en neuroréadaptation, une surspécialité de la médecine physique et de la réadaptation envers laquelle je suis grandement intéressée.»
Acquisition d’un Visual Eyes 505M—Montant financé : 10 500 $
La Fondation RÉA finance, au montant de 10500$, l’acquisition d’un équipement spécialisé qui aidera des experts de Lucie-Bruneau à procurer des soins et des traitements toujours plus efficaces en matière de problèmes vestibulaires.
Depuis quelques années, les problématiques vestibulaires sont de mieux en mieux connues et identifiées plus rapidement. L’impact des étourdissements et des pertes d’équilibre est énorme sur l’autonomie et la qualité de vie des personnes, en plus de nuire à leur progrès en réadaptation. Au programme AVC et autres neuros du Centre de réadaptation en déficience physique Lucie-Bruneau, nous voyons une augmentation des références en physiothérapie en lien direct avec cette réalité. De 40 à 60 % de la clientèle en physiothérapie présente des troubles vestibulaires à évaluer et à traiter.
Des progrès concrets
De telles problématiques peuvent être d’origine périphérique (le système vestibulaire dans l’oreille interne) ou centrale (cerveau). Une bonne évaluation permet de cibler la cause des étourdissements et d’offrir un plan de traitement adapté à la condition de la personne atteinte. Actuellement, les professionnels doivent évaluer le tout à l’œil nu, faute d’équipement spécialisé. Par contre, certains tests cliniques ont besoin d’être réalisés avec des lunettes d’évaluation. Celles-ci empêchent la fixation visuelle pour bien diagnostiquer le problème. Leur acquisition raffinera les évaluations et éliminera les faux négatifs en lien avec la compensation par fixation visuelle. De plus, cela permettra l’autoformation entre pairs en analysant les enregistrements.
Par contre, le principal objectif reste de générer un impact significatif sur le plan de la fonction et de la qualité de vie des personnes présentant ces troubles.
Un effet positif exponentiel
En plus des personnes présentant une condition d’AVC, plusieurs clientèles sont servies à Lucie-Bruneau, dont des individus présentant des douleurs chroniques ainsi que des diagnostics de Parkinson ou de sclérose en plaques. Puisque les problématiques vestibulaires, qu’elles soient d’origine périphérique ou centrale, peuvent être présentes parmi toutes ces clientèles, les lunettes vestibulaires pourront être utilisées par tous les physiothérapeutes.
Acquisition d’un vélo adapté—Montant du projet : 1 000 $
La Fondation RÉA procure à des personnes limitées physiquement un vélo adapté valant 1 000$.
Ce vélo adapté permet aux gens en réadaptation de recommencer à pratiquer un sport de façon sécuritaire tout en étant autonomes. Un des champs de travail en kinésiologie est de rendre les sports accessibles à tout type de clientèle avec des limitations physiques, à la suite d’un diagnostic médical : AVC, sclérose en plaques, douleurs, etc. Ces personnes pratiquaient souvent le vélo antérieurement, et plusieurs souhaitent recommencer de manière sécuritaire et adaptée à leur nouvelle condition. Avant le financement par la Fondation RÉA, l’institut n’avait de vélo adapté pour une clientèle aux prises avec des problèmes importants d’équilibre, coordination, parésie, faiblesse musculaire, endurance, etc. Il est désormais possible pour les kinésiologues de répondre à ce besoin et d’accompagner l’utilisateur dans la reprise de cette activité.
Le tricycle aide à se sentir tout de suite à l’aise et en équilibre, ce qui est impossible sur un vélo à deux roues. De plus, comme il possède six vitesses, cela permet de travailler à différentes intensités et de faire ainsi progresser le travail réalisé.
Enfin, signalons que la reprise des activités physiques à la suite d’un diagnostic favorise l’intégration communautaire, poursuit l’amélioration des paramètres de la condition physique et diminue les facteurs de risque liés à la sédentarité.
Acquisition d’un SMART Balance Master SBM 10507 InVision Head Tracker—Montant du projet : 5 165 $
Un nouvel outil pour les traumatisés cérébraux crâniens. Grâce à un don de 5 165$ d’Andrea et John David Miller à la Fondation RÉA, les victimes d’un traumatisme cérébral crânien et les gens souffrant de troubles d’équilibre bénéficieront d’un nouvel équipement de pointe.
En effet, l’Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal (IRGLM) pourra acquérir un « head tracker ». Comme son nom l’indique, cet outil détecte les mouvements de la tête. Placé sur celle de l’utilisateur, il permet d’évaluer leur impact sur son équilibre en position debout.
Le physiothérapeute spécialisé en rééducation vestibulaire peut ainsi offrir un service plus adapté et plus précis à la clientèle de l’IRGLM. C’est notamment le cas pour les personnes ayant subi un traumatisme cérébral crânien ou souffrant de troubles d’équilibre debout affectant leurs activités quotidiennes.
Laboratoire de recherche hautement spécialisé—Montant du projet : 110 000 $
La Fondation finance la création d’un laboratoire de recherche hautement spécialisé à l’Institut Raymond Dewar pour la réadaptation des personnes sourdes, sourdes-aveugles, présentant un trouble du langage ou un trouble de traitement auditif.
L’acquisition de technologies telles que Neuroscan et Eyelink II permettra de mesurer les changements de l’activité cérébrale pendant des exercices d’écoute et des stimulations visuelles. Grâce au laboratoire, les professionnels pourront personnaliser les services de réadaptation, évaluer la plus-value des interventions et ajuster le soutien clinique, développer de nouveaux moyens de réadaptation et bâtir des projets de recherche sur l’expérience-client.
Près de 1 500 enfants, 400 adolescents et 2 700 adultes ayant une surdité ou un trouble de traitement auditif, une surdicécité ou un trouble de langage, actuellement usagers à l’Institut Raymond-Dewar.
Développement d’un manuel de l’intervenant et d’une trousse de formation (danse thérapie)—Montant du projet : 28 655 $
La danse thérapie est un programme offert aux gens souffrant d’une déficience physique! La Fondation RÉA soutient financièrement la mise en place d’outils de formation qui habilitent des intervenants du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal (CCSMTL) et d’autres établissements à proposer de telles disciplines.
Une intervention novatrice de danse thérapie est désormais offerte aux usagers des programmes en déficience physique du CCSMTL. Animée par des professionnels de la réadaptation, cette thérapie combine l’expression corporelle et l’improvisation dansée aux principes de réadaptation.
Depuis 2009, la danse thérapie en déficience physique (DTDP) touche des adultes aux profils variés : amputation, séquelles d’AVC, lésion médullaire, maladie neurodégénérative, etc. La danse leur permet de se réapproprier leur corps et d’expérimenter un large spectre de mouvements dans un contexte d’acceptation.
Pour comprendre ce qu’ils en retirent, voyez ce reportage d’AMI télé.
Aide au transfert de connaissances
La Fondation RÉA a récemment octroyé 28 600 $ pour produire un guide destiné aux animateurs ainsi que divers outils de formation au sein du CCSMTL. Cette aide permettra aussi à d’autres organisations de l’offrir à davantage de personnes avec une déficience physique.
Combinaison d’expertises
La DTDP a été initiée par Brigitte Lachance, physiothérapeute et chorégraphe professionnelle. D’autres intervenantes, dont les ergothérapeutes Chloé Proulx-Goulet et Maude Guérette, ont contribué à sa bonification. Le soutien de gestionnaires comme Marie-Ève Demers, cheffe du programme Amputés-BOG, a été décisif pour intégrer la danse thérapie dans l’offre de services du CCSMTL. L’important volet scientifique du projet est assuré par les chercheuses Bonnie Swaine et Frédérique Poncet, du Centre de recherche interdisciplinaire en réadaptation du Montréal métropolitain. Le positionnement de la DTDP en tant que pratique de pointe est accompagné par Manon Parisien, de l’Institut universitaire sur la réadaptation en déficience physique de Montréal.
Pour en savoir plus sur la DTDP
- Description de l’offre de services de DTDP au CCSMTL (Lachance et collaborateurs, 2018)
- Article scientifique d’une récente étude sur la DTDP (Lachance et collaborateurs, 2020)
Fellowship de la Dre Stéphanie Jean—Montant financé : 41 000 $
La Fondation RÉA octroie une bourse de 41 000 $ à la Dre Stéphanie Jean, contribuant ainsi à son fellowship.
L’initiative améliorera les soins des patients amputés ou victimes d’une brûlure grave.
La Fondation RÉA remet une bourse de 41 000 $ au fellowship de la Dre Stéphanie Jean. Une telle formation permettra à l’Institut universitaire sur la réadaptation en déficience physique de Montréal d’offrir les soins en réadaptation les plus avancés aux Québécois amputés ou ayant subi une brûlure grave. En effet, grâce à cette bourse, Dre Jean deviendra la première médecin au Québec à offrir de tels soins surspécialisés.